samedi 27 décembre 2014

Le gui

Un poème de circonstance, ou presque ! Le gui est un parasite, il vampirise les arbres majestueux et notamment les grands chênes centenaires. Pourtant, depuis toujours, il est considéré comme une plante magique par les druides, de bonne augure pour la nouvelle année. Étrange n'est-il pas ?
J'espère que ce poème ne le sera pas.
Ce poème est composé de deux quatrains d'alexandrins léonins.
N'oubliez pas de visiter régulièrement les pages de théorie, si cela vous intéresse, elles changent de temps en temps !




Le gui


Nous voilà réunis tous les deux sous le gui
Nos joues de rouge s’empourprent, nos cœurs battent à tout rompre
Je me sens défaillir, je ne peux déguerpir
Nous sommes là l’un pour l’autre, pour une nouvelle rencontre

L’instant de volupté de nous peut s’emparer
Les caresses se font tendres, on ne peut plus attendre
Nos regards en disent long sur nos belles attentions
Mais laissons là ces phrases, livrons nous à l’extase

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