Un sonnet français avec des alexandrins léonins pour dessiner cette histoire.
A côté
Une orée de forêt, une grande tablée
Des plats appétissants visuels, odorants
Convives souriants bavardant et riant
Chacun se dit « santé » choquant les gobelets
Sa robe colorée qui vient de m’effleurer
Son parfum envoûtant, je rate un battement
Son regard pétillant illumine l’instant
Sur le banc à côté doucement elle s’assied
Je ne peux contenir un immense sourire
Des paroles, des rires, du bonheur, du plaisir
Elle accroche mon bras, elle parle tout bas
J’aurais dû la séduire sans jamais tressaillir
Mais tout ça doit finir, à peine un souvenir
Il suffit parfois de se lancer, cesser de douter, et tout peut arriver.
RépondreSupprimerje ne suis pas poète, juste romantique.