Au-dessus des masques ils trônent, seuls rescapés de nos visages cachés.
Bonne lecture.
Ils sont deux
Eh bien oui ils sont deux
Et on ne voit plus qu’eux
Arrimés juste au creux
Collés au mont venteux
Heureux et pétillants
Tristes et larmoyants
Rouges et irritants
Fatigués et tremblants
Ils en sont le reflet
De toutes nos pensées
Sauf si vous essayez
De jouer ou bluffer
Nos visages scellés
N’ont que ça pour parler
Alors, allez ! clignez !
Un clin n’est qu’un jouet
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